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  • David Biraud

    Meilleur ouvrier de France 2004
    Meilleur sommelier de France 2002

    Quelle jeunesse ! La couleur violette fait penser aux premiers jus d'écoulage, de la noirceur, de la concentration, brillance et limpidité complètent le visuel. Déjà ce petit cru impose son style qui lui est très propre.

    Palette aromatique qui est vaste, commençant par le fruit frais, le cassis écrasé, touche de sucre, le panier de baies noires de montagne, ensuite la note lardée, toastée d'un élevage noble apportant un léger trait aromatique à ce Bellevue Mondotte.

    Concentré, frais et précis, le fruit est juste, sans artifice, maîtrisant équilibre et maturité, du bel art, dans la tradition des grands merlots de l'histoire du cru. Bel équilibre et travail sur la notion de fraîcheur qui est exemplaire en ce moment. De beaux tanins au grain fins, construisent la structure qui soutient la générosité de la matière. Ces tanins apportent de la fraîcheur et de beaux amers. Indispensable pour la notion d'équilibre. Finale suave, aérienne, très longue. Une très belle réussite, au même titre que son voisin célèbre, Pavie.

    Deux crus à la personnalité différente, mais de grands seigneurs. A regoûter avec plaisir dans un futur proche pour comprendre que 2018 a donné pleinement de sa grandeur.


  • David Biraud

    Meilleur ouvrier de France 2004
    Meilleur sommelier de France 2002

    Petite parcelle de 2 ha, qui se niche au milieu du plateau calcaire de Pavie. La teinte est noire, concentrée, le violet domine et marque les parois du verre avec ces larmes grasses colorées, rosées. Couleur d'une intensité d'extrême.

    Nez très frais, de fruits noirs avec délicatesse, c'est assez déroutant de sentir ce cru si puissant, concentré et vivifiant à la fois. La présence de l'élevage est là, mais ce vin a toutes les caractéristiques pour dominer son sujet, au niveau de l'élevage. Il s'éduque tout seul.

    Premières sensations en bouche apportant fermeté, tanins fins, accrocheurs, jeunes (vin dégusté en janvier 2020) mais équilibrés à la fois grâce au niveau d'acidité. Fraîcheur imposante, ce merlot de Bellevue Mondotte filtre l'influence terroir tout en prenant ce dont il a besoin en soleil et exposition pour sa maturité.

    Finale gustative très longue, de l'appétence, la persistance aromatique qui se présente bien, même très bien. Grand vin de merlot, plus nerveux et plus vif que certains merlots des vignobles environnants. Vin encore fougueux, plein d'énergie, et qui va s'assagir au fur et à mesure des années en cave, pour nous offrir à l'avenir un style avec de la puissance, du moelleux, du gout et du plaisir. Millésime qui a pu être compliqué mais grâce à cette petite parcelle idéalement située et le résultat est efficace. A attendre 3 à 5 ans avant d'ouvrir l'un de ces flacons.


  • David Biraud

    Meilleur ouvrier de France 2004
    Meilleur sommelier de France 2002

    Micro cru qui est idéalement situé sur les hauteurs du plateau calcaire. Qui dit hauteur, dit belle exposition et maturité maitrisée. Voilà un exemple. Pourpre, difficile d'y voir au travers, la matière colorante est présente et bien en place, pour défier le temps. Aromatique de jus de fruits noirs, myrtilles, mûres, définition précise, et déjà la race se fait présente. La note de l'élevage est encore dominante, mais associée au fruit noir confituré (vin dégustée en janvier 2020).

    Première mise en bouche, franchise et évolution vers la matière. Cette dernière porte fermement une sensation doucereuse, et nerveuse à la fois. Quel milieu de bouche, et quelle texture !
    De la fraicheur, de la nervosité, très virevoltant, bel équilibre en milieu de palais. Le grain de tanins est serré, mais assoupli par la matière, étonnamment fraiche pour le niveau de maturité.

    Finale très longue, C'est une très belle démonstration gustative, le caractère est bien là. Construit pour l'avenir, se goute bien, mais le temps devrait lui donne encore plus de dimension. Un jeune grand cru, qui a les éléments pour traverser les années sans soucis aucun. Si vous ouvrez ce flacon, pensez aux viandes saignantes, boeuf à la braise, magret de canard sauvage fumé, joue de boeuf mitonnée, carottes au jus réduit.


  • David Biraud

    Meilleur ouvrier de France 2004
    Meilleur sommelier de France 2002

    La couleur est opaque, sombre, violacée, aux reflets de couleur pourpre. Quelle extraction de fruits compotés ! La définition aromatique se compose de compote de fruits noirs, de crème de cassis, associée aux arômes épicés, de poivre noir, de réglisse. Boisé qui souligne la qualité du millésime, par un effet rutilant, précis, sans dominer le vin. En bouche la matière est franche, puissante, l'évolution arrive avec ses tanins puissants et enrobés avec une sensation doucereuse, de générosité. La matière porte ce cru et en fin de bouche, une allonge exceptionnelle.
    Complexité et concentration sans oublier la notion d'équilibre avec ce Bellevue Mondotte si racé.
    Quel terroir ! Quel avenir également pour les heureux qui croient au potentiel de ce micro cru.

  • David Biraud

    Meilleur ouvrier de France 2004
    Meilleur sommelier de France 2002


    Ce vin a une couleur profonde, tirant vers le violet, et le sanguin. Les larmes sont colorées et glissent en abondance. Le nez s'active et développe les épices, le balsamique, les fruits noirs les confitures. Première sensation au palais : une présence vive, et franche. Ensuite, l'évolution est fraîche, très nerveuse, symbolisée par une structure acide de qualité, qui apporte au milieu de bouche enveloppé, du relief. C'est encore un vin jeune puissant, à la tannicité marquée, qui se contracte en fin de bouche. Vin qui nécessite de l'aération et qui présente un millésime 2014 de belle facture.

  • David Biraud

    Meilleur ouvrier de France 2004
    Meilleur sommelier de France 2002

    L'élevage domine encore quelque peu, et la première sensation en bouche est franche. Au fur et à mesure de la dégustation le vin présente sa fraîcheur, arrive l'évolution vers une matière fine, au grain serré, tanins bien en place formant structure et puissance. Légère sensation de contraction du palais en milieu de bouche, due à la nervosité de ce cru. Rétro-olfaction agrémentée d'arômes d'humus, de sous-bois, de jus de viande, formant un vaste registre olfactif. Un vin qui séduit par son évolution, mais en impose par sa matière pour un millésime difficile. Bonne persistance aromatique. Cru de Bellevue Mondotte prêt à déguster, au potentiel encore certain de plus de 10 ans.

  • David Biraud

    Meilleur ouvrier de France 2004
    Meilleur sommelier de France 2002


    Cette parcelle de 2 hectares nous présente un vin complet, aux très beaux fruits sur-muris, fraise, cassis, mûre fraiche, la maturité est là mais elle garde une certaine élégance. Le vin en bouche est suave, puissant, et charnu, complété par un beau grain de tanin. Bel équilibre et belle extraction. Une jolie finale savoureuse et salivante complétée par des tanins serrés, allonge la persistance d'un vin en élevage et en primeur, qui restera dans les beaux merlots du millésime.




  • David Biraud

    Meilleur ouvrier de France 2004
    Meilleur sommelier de France 2002


    Ce vin se pare d'un pourpre profond et très opaque. Premier nez avec un éclat de fruit frais, belle définition de fruits, mûrs et sans évolution vers le cuit. La première sensation est franche, et l'évolution sur la texture serrée, confirme la matière et la race de ce cru. Le milieu de bouche est imposant, le grain de tanins est ferme et la texture concentrée. La générosité est assez présente, ce qui est surprenant par rapport à la gamme aromatique assez équilibrée avec la fraicheur. C'est un vin avec beaucoup de densité, qui allie force et complexité de terroir en même temps.




  • David Biraud

    Meilleur ouvrier de France 2004
    Meilleur sommelier de France 2002


    Ce millésime 2010 est une belle réussite, la robe est noire, pleine de jeunesse, texture qui apparait déjà ronde et des larmes très colorées. La première gamme aromatique est dominée par sur le boisé neuf, les arômes de fruits noirs sont présents, mais sont encore dissimulés par cet élevage noble. La dégustation nous apporte une chair généreuse, une texture massive. En milieu de dégustation les tanins sont jeunes, accrocheurs, puissants, plus difficiles à déguster, car c'est vraiment un nourrisson. Ce vin doit être oublié quelques années. Vin dynamique, d'une très grande jeunesse et concentration, avec beaucoup de relief. Très longue persistance.Vin qui demande de s'affiner avant d'en profiter pleinement avec des mets.





  • David Biraud

    Meilleur ouvrier de France 2004
    Meilleur sommelier de France 2002


    C'est dans ces années-là, que les grands merlots de plateau calcaire se montrent incroyablement imposants et flatteurs à la fois. Un noir d'encre, un violet très sombre, quelle maturité déjà en ce qui concerne l'aspect visuel. Le fruit noir est très présent, confit, chaud, concentré, croquant et juteux à la fois. L'attaque est puissante en première impression, cela évolue avec une texture serrée et pleine, de la chair, un volume de bouche impressionnant, quelle matière, une sensation de générosité, mais la fraicheur revient ensuite en finale. C'est un cru très long en bouche et très frais, ce qui peut surprendre, un vin plein de caractère qui demandera 15 ans minimum avant de nous montrer son potentiel et sa complexité. La matière devra s'affiner, mais ce Bellevue Mondotte a l'avenir devant lui. Il sera nécessaire de proposer des gibiers comme le lièvre, un civet de chevreuil, ou alors une pièce de cerf cuite rosée, servie avec une compotée de poires au vin rouge et épices.




  • David Biraud

    Meilleur ouvrier de France 2004
    Meilleur sommelier de France 2002


    Opaque, dense, la couleur est d'un violet éclatant, brillant. La palette aromatique est nette et immédiatement portée sur les épices, on ressent l'influence solaire, la maturité avec de la diversité dans les fragrances, cèdre, bois précieux, beaucoup de plaisir en ce moment avec les arômes. Le vin au palais est serré, encore ferme, franc, suit un bel équilibre, car les tanins sont enrobés par une matière suave et doucereuse. La finale est charnue, ronde, liée à la générosité mais beaucoup de finesse et de fraicheur également. Arômes en rétro-olfaction de café torréfié, joli nez de tabac, très belle personnalité en ce moment pour ce Bellevue Mondotte 2008. Ce millésime nous surprendra par sa fraicheur dans un avenir proche. C'est un vin qui demande entre 5 et 8 ans encore pour se dévoiler pleinement.




  • David Biraud

    Meilleur ouvrier de France 2004
    Meilleur sommelier de France 2002


    Encore sombre et violacée, la couleur n'a pas pris un seul signe d'évolution, figée dans le temps. Les arômes sont très ouverts, petites baies noires acidulées,  en compote avec épices, comme la muscade, le poivre blanc. La sensation en milieu de bouche est un peu ferme, car les tanins ont un grain assez robuste, mais cela évolue sur une matière puissante, qui impose son caractère. Très structuré ce vin a une finale un peu  austère C'est un vin qui demande du temps, et qui représente un millésime racé, qu'il va falloir apprécier sur des plats riches en sauce pour affiner et attendrir sa personnalité. Persistance de qualité.


  • David Biraud

    Meilleur ouvrier de France 2004
    Meilleur sommelier de France 2002

    Nous voilà en présence d'un vin qui impose tout de suite sa personnalité. D'un noir encre, aux reflets pourpres, voilà pour la couleur très sombre. La gamme aromatique est pleinement sur la mûre cuite, le cassis, la confiture d'un panier de cerise noire, ainsi qu'une note jus de viande rôtie assez intense. Il y a également une très belle définition du boisé dans ce cru de grande noblesse. Le vin en bouche s'impose tout de suite. On en a plein le palais, densité, texture serrée et sensation tactile sont bien en place. Mais également l'acidité est bien présente et souligne la matière, pour lui donner un regain de fraîcheur en milieu de bouche. C'est un vin de grande maturité mais qui de part son terroir révèle un potentiel énorme. La garde sera de plus de 15 ans, c'est un minimum pour ce cru. Il faudra être patient. C'est une très belle bouteille que les amateurs devront garder jalousement pour en profiter dans quelques années.

  • David Biraud

    Meilleur ouvrier de France 2004
    Meilleur sommelier de France 2002

    C'est une couleur rappelant la cerise noire. La couleur est d'une jeunesse impeccable. Les arômes forment une association élégante de notes fruitées, confiturées, sur le registre fruits noirs.  L'élevage bien maîtrisé complète la complexité aromatique de ce vin, avec le grillé et le pain toasté, d'un boisé fin et charmeur. L'attaque en bouche est franche et la matière s'enroule autour de tanins fermes encore très jeunes, qui demandent à se faire avec le temps. Ces tanins sont bien en place et marque le vin avec une acidité nerveuse et apportant de la fraîcheur. Le milieu de bouche est opulent, et la texture impose son style fougueux et racé. La finale est encore sur l'accroche des tanins jeunes, mais la persistance est très longue et salivante. C'est un grand vin, de très belle garde, qui ne cessera de nous donner un plaisir gustatif, savoureux et noble. On attendra quelques années pour se délecter d'un vin qui a une resistance au temps certainement incroyable.

  • David Biraud

    Meilleur ouvrier de France 2004
    Meilleur sommelier de France 2002


    Ce micro cru est encore très sombre, se parant d'une couleur pourpre, pas de signe d'évolution au niveau de la couleur. Les arômes sont puissants, note d'encens, arôme balsamique, des épices nobles, poivre de Sichuan, note empyreumatique, fumé, lardé,  une très grande complexité, on ressent également la générosité. Le vin en bouche est franc, puissant, la matière s'enroule autour de tanins fins, encore vivaces, une présence en milieu de bouche et une qualité de maturité, complètent la dégustation de manière très noble. La finale est généreuse et solaire, belle persistance, une longue saveur sapide et épicée. Il faut ajuster au mieux la température de service, pour éviter que la puissance de ce Bellevue Mondotte ne fasse basculer le vin vers un profil trop cuit. L'aération lui ouvrira sa palette aromatique de grand cru. A déguster maintenant, il se dévoile, mais les 5 à 10 ans qui viennent ne lui procureront aucune crainte.





  • David Biraud

    Meilleur ouvrier de France 2004
    Meilleur sommelier de France 2002

    Cette petite zone de production des vignobles Perse nous présente un vin d'une couleur rubis de très belle intensité. C'est une couleur encore très jeune, les arômes sont complexes et mélangent le fruit noir juteux, en marmelade ainsi qu'une note cacaotée et fumée qui provient d'un élevage sous bois neuf. La bouche fait preuve de franchise et de puissance. Les tanins de belle maturité sont enrobés par une matière charnue, généreuse et suave. On ressent un style méridional sur ce millésime de canicule, car on a la sensation doucereuse des vins de soleil. Il faudra tempérer ce vin au moment du service, le mieux serait entre 16 et 18 °. Ce vin est très long en bouche, signe de grand terroir. Ne pas hésiter à aérer ce vin au moyen d'une carafe. Il faudra attendre 1 à 2 ans pour qu'il s'affine, et la garde de 5 à 10 ans sans aucun problème. C'est un vin de très belle facture, qui nous réserve de belles promesses.

  • David Biraud

    Meilleur ouvrier de France 2004
    Meilleur sommelier de France 2002

    Le vin est d'une couleur sombre tirant sur le pourpre et le violacé. Le nez est très intense et développe des arômes lardé voire fumé ainsi que du fruit bien mur, des petites baies noires. C'est un nez riche et complexe à la fois, ou la dominante est encore sur la jeunesse de l'élevage. Le vin en bouche est franc, la matière dessine une rondeur agréable, s'articulant sur des tanins encore présents mais fins et serrés. La texture et la sensation tactile de ce vin sont de belle qualité. Cela termine par une persistance très longue et complexe à la fois. C'est un vin qui se déguste en ce moment, mais ne pas hésiter à lui offrir une belle carafe pour qu'il se sente plus à son aise. La garde est d'environ 5 à 7 ans minimum sachant la richesse de ce cru. Il faudra lui associer des viandes racées, du boeuf de salers, du canard sauvage, mais aussi de chevreuil et sanglier mais préparés façon rôti pour respecter la finesse et le caractère du cru servi.

  • David Biraud

    Meilleur ouvrier de France 2004
    Meilleur sommelier de France 2002

    Voilà le grand seigneur, une couleur pourpre, qui nous informe tout de suite de la concentration de ce vin. Le nez encore fermé a demandé quelques minutes mais surtout une aération préalable pour pouvoir s'exprimer. Ces arômes sont complexes et de très belle finesse. Le fruit noir concentré et surmuri, la note de torréfaction se rapprochant du moka, mais aussi les épices fortes et le coté poivré forment une palette aromatique digne des grands vins de bordeaux. Le vin est assez massif en première bouche mais par la suite sa matière est serrée et dense. Les tanins présents sont murs et fins, quelle structure ! Il faut surtout signaler l'équilibre des grands crus avec cette fraîcheur en finale et la sensation salivante. La complexité du terroir commence à se faire sentir, cela promet pour les années à venir. La garde peut être évaluée à environ 10 à 15 ans, néanmoins, il sera apprécié avec des viandes sanguines, une cote de boeuf grillée aux sarments, mais aussi un pigeon au sang. 

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